
lundi 28 mars 2011
Anna Calvi "Anna Calvi"

samedi 26 mars 2011
Oh La La ! (Nouveau Casino, 23 Mars 2011)






"Tomorrow" et "Not In The Mood" font retomber la tension et explorent le versant pop d'Oh La La !. Natasha, posant telle une féline sur l'enceinte de retour, s'invente en Catwoman. On adhère. "Un Poing C'est Tout" donne à voir un étrange happening : tenu en laisse par la chanteuse et vêtu d'une combinaison sado maso, le Monsieur Loyal du début fait son show à quatre pattes sur la scène, maltraité par sa maîtresse qui poursuit son couplet l'air de rien.


Un "Paris Ne T'Aime Pas" tonitruant conclut le set. La chanteuse tente un deuxième slam plus réussi et enchaîne sur le refrain sans transition. Le groupe revient après un rapide rappel (on a connu fosse plus bruyante) pour interpréter "Rendez-Vous Avec Un Salop", pièce maîtresse du disque. "Est-ce que c'est mieux avec une salope ?" lance Natasha, sûre de son effet.

jeudi 17 mars 2011
Interview Oh La La ! - extraits - (Hotel Amour, Paris, 16 Mars 2011)

Antoine : C'est le problème de beaucoup de groupes effectivement.
samedi 5 mars 2011
Interview HushPuppies - extraits (21 Février 2011)

Il s'est écoulé quatre ans depuis la sortie de Silence Is Golden (2007). Que s'est-il passé pour vous entre les deux albums, mis à part la tournée ?
Cyrille (guitare) : Quatre ans ? ça fait si longtemps que ça ?
Olivier (chant) : Eh ouais, ça ne nous rajeunit pas. Pour nous, le temps de gestation est à peu près de quatre ans puisqu'on est cinq.
Le temps de se mettre tous d'accord ?
Cyrille (guitare) : C'est à peu près une année par musicien en fait.
Olivier (chant) : En fait depuis la sortie de Silence Is Golden, on a fait la deuxième tournée, ce qui nous a quand même pris un an et demi. On n'a commencé à composer le troisième album qu'après. Du coup ça ne fait plus quatre ans, mais déjà deux ans et demi. On a aussi dû chercher un autre label parce que celui où on était s'est cassé la gueule. Ça nous a pris du temps et au final on s'est rendu compte qu'on n'était jamais mieux servis que par soi-même. On a donc auto-produit l'album.
Ça n'a pas été trop compliqué de trouver une nouvelle maison de disque ?
Olivier (chant) : En fait on a trouvé une licence, pas une maison de disque.
Cyrille (guitare) : Elle fait la distribution, la promo, le développement de l'album, ce genre de choses.
L'album s'ouvre sur une longue plage presque progressive qui est en fait trois morceaux en un. Je trouve qu'elle résume bien les différentes facettes de Hushpuppies.
Cyrille (guitare) : C'est assez représentatif, effectivement, je pense que tu as raison. La première partie aurait même pu devenir une chanson.
Olivier (chant) : Voire même un single.
Cyrille (guitare) : A un moment, on a pensé à développer du chant dessus et faire partir la chanson dans une autre direction. Mais on avait envie de ce côté progressif. On n'aime pas trop le terme parce que c'est souvent assimilé à une scène dans laquelle on ne se reconnait absolument pas. Mais j'entends progressif dans le premier sens du terme : un morceau qui peut, à partir de quelque chose assez basique, évoluer dans des directions complètement différentes.
Olivier (chant) : Ce morceau, on l'a voulu comme ça et en ouverture de l'album parce qu'il y a ce côté progressif qui ouvre sur une plage complètement pop à la Beatles, et ça nous correspond bien. Le côté rock, le côté un peu plus électro/expérimental au milieu et le côté pop à la fin, c'est vrai que ça nous résume bien.
Cyrille (guitare) : Le titre de l'album (ndA : "The Bipolar Drift", soit "la dérive bipolaire" en français) nous rappelle ça : on a essayé de faire cohabiter sur ce disque à la fois notre amour pour la pop et ses formules efficaces avec des plages plus expérimentales et des recherches dans le son. Pour nous c'était évident d'ouvrir avec cette chanson car ça posait les bases de l'album.
Ce nouvel album sonne plus contrasté que les deux précédents. Mis à part "Stop", "A Dog Bay", " Twin Sisters" ou "Frozen Battle", c'est un disque plus calme que les deux premiers. On est moins dans l'urgence, il y a plus d'espace, c'est plus contemplatif.
Olivier (chant) : C'est vrai que de fait on était moins dans l'urgence parce qu'on a pris plus de temps pour écrire et enregistrer les morceaux. On a pris le temps pour y réfléchir et le fignoler.
Les compositions vous ont-elles entraînés dans cette voie ou aviez-vous d'emblée la volonté de faire quelque chose de plus doux ?
Cyrille (guitare) : On ne voulait pas forcément faire quelque chose de plus doux, mais on voulait vraiment apporter une nouvelle couleur à cet album par rapport aux précédents. Certes, de par le temps que l'on a mis à enregistrer ce disque, certaines chansons ont mis plus de temps à arriver à maturité. Mais contrairement aux autres albums, on a écrit beaucoup de chansons, dont une bonne partie a été mise de côté alors qu'elles étaient quasi abouties. Mais elles ne correspondaient pas à ce vers quoi on voulait tendre, elles sortaient de la couleur de l'album. On ne voulait pas de toute façon rester dans le rock assez facile et efficace des deux premiers albums.
The Bipolar Drift donne l'impression que vous avez cherché à élargir votre palette sonore. C'est particulièrement flagrant au niveau du clavier.
Wilfried (clavier) : A chaque album on essaie de se remettre en question. Sur le troisième on voulait proposer quelque chose de plus abouti et qu'on n'avait pas encore fait.
Franck (batterie) : Et puis surtout, c'est le premier disque qu'on a fait avec un réalisateur. Il a apporté sa touche à cet album. Sur les deux premiers, on a enregistré juste avec un ingénieur du son. Il avait très bien bossé d'ailleurs, mais là le producteur est vraiment rentré dans la structure et la texture des morceaux. Il a apporté des sons de guitare et de clavier qu'on n'utilisait pas auparavant.
Wilfried (clavier) : Il a introduit le chorus, le delay à foison...
Franck (batterie) : Des claviers qu'on n'aurait jamais pensé utiliser... Le fait de choisir un réalisateur, c'était vraiment dans ce but là. On s'est dit que sans cette oreille extérieure, nos compos sonneraient trop "Hushpuppies" alors qu'on voulait faire quelque chose de différent.
Cyrille (guitare) : On voulait s'éloigner des étiquettes qu'on nous collait, du coup on a pris le contre-pied de certaines de nos habitudes sonores. Le simple fait d'utiliser un nouveau synthé, ça amène à une nouvelle façon de composer.
Wilfried (clavier) : Même dans le traitement des guitares et des claviers, on a introduit un delay qu'on n'utilisait pas avant. Donc même avec les mêmes instruments qu'avant mais traités différemment, ça apporte une couleur complètement différente. Sur le premier album, il n'y avait pas de réverb, rien. Deuxième un peu de réverb. Troisième réverb et delay.
Olivier (chant) : Il y a quand même toujours eu du delay sur ma voix...
Wilfried (clavier) : On s'est permis des choses auxquelles on n'aurait pas pensé il y a 6 ans.
Cyrille (guitare) : Le simple fait d'aller chercher un réalisateur, c'était une façon de se mettre en danger par rapport au son qu'on avait l'habitude d'utiliser. On savait en choisissant ce réalisateur qu'il allait nous tirer vers des sonorités nouvelles.
Franck (batterie) : C'est sûr que ce n'est pas drôle de faire le même disque à chaque fois.
Du coup c'est vrai qu'on trouve des morceaux étonnants sur l'album : "Zero One" et "Twin Sister" font très new wave, alors que "Every Night I Fight Some Giant" fait beaucoup penser à Zero 7.
Wilfried (clavier) : En fait, le premier album de Zero 7 a été très présent pour nous quand il est sorti, bizarrement.
Franck (batterie) : On est quand même des grands fans de Air. Si tu écoutes le début de "Down, Down, Down" sur le deuxième album, ça fait très Air. Il y a quand même des prémices sur nos précédents albums, sur des intros ou des fins de morceaux. Mais effectivement on n'avait jamais osé pousser l'idée jusqu'au bout, on a essayé cette caisse claire à la Virgin Suicides...
Wilfried (clavier) : De même sur "Frozen Battle", on assume ce côté dansant.
Franck (batterie) : "Zero One", tu dis que ça fait new wave, mais c'est le premier mroceau où on utilise une boîte à rythme.
Wilfried (clavier) : Et puis les synthés sont très années 80, avec un son bien caractéristique.
Cyrille (guitare) : Pour revenir à "Twin Sister", on ne l'a pas du tout écrit comme un morceau new wave, on ne l'a pas fait consciemment. On a d'ailleurs hésité à l'insclure dans l'album, on se demandait si ça collerait avec les autres titres.
Franck (batterie) : En fait, on ne s'est rien interdit. Par exemple un son de clavier 80's qu'on aurait refusé d'emblée il y a quelques temps, là on l'utilise si ça sert le morceau.
Cyrille (guitare) : On n'a pas eu non plus la logique de se demander si ça serait faisable en live ou si les gens allaient aimer. Le but était de pousser nos idées le plus loin possible.
Wilfried (clavier) : Quitte même à revenir parfois en arrière, voire carrément zapper certaines chansons.
Olivier (chant) : Il y a aussi deux morceaux où les refrains fonctionnaient bien, on en a fait des couplets et on a retrouvé d'autres refrains. C'est le genre de choses qu'on ne faisait pas avant.
Parlons de "You're Gonna Say Yeah !". Le titre a été utilisé dans Guitar Hero. Vous vivez ça come une reconnaissance ?
Franck (batterie) : Oui, on est super contents.
Wilfried (clavier) : C'est une belle visibilité.
Olivier (chant) : Et puis savoir qu'un mec au fin fond du Texas joue "You're Gonna Say Yeah !", c'est incroyable. Sans ce jeu vidéo, on n'aurait pas pu toucher certaines personnes. Même si ça ne nous a pas fait vendre des milliers d'albums, c'est génial de savoir qu'on est dans le salon d'un gamin quelque part dans le monde.
Cyrille (guitare) : Soyons honnêtes, la manière de diffuser la musique est aujourd'hui de plus en plus réduite. On a assez peu d'accès aux médias habituels, donc toucher d'un coup des gens qu'on n'aurait jamais touchés autrement, ce n'est que du bonheur.
vendredi 4 mars 2011
Interview Elista - extraits (La Flèche d'Or, 28 Février 2011)

Et si je comprends bien, la St Valentin, ce n'est pas trop votre truc ?
Thomas : Non, pas vraiment. Mais je ne crois pas que ce soit le truc de grand monde, la St Valentin...
Benjamin : La St Valentin, on l'a surtout utilisée pour la métaphore. C'est tellement symbolique. "La St Valentin ce n'est pas dans mes bras que tu la passeras", c'est une façon de dire qu'on n'a pas envie de s'engager, que ce sera très bref entre nous.
Vous avez changé votre fusil d'épaule depuis La Folie Douce. L'Amour, La Guerre et L'Imbécile est un disque de facture beaucoup plus pop. Les fondements restent les mêmes, mais la forme a pas mal évolué ?
Thomas : C'est vrai qu'on avait fait une tournée assez électrique et noisy et on avait envie de calme. On a enregistré à la campagne alors que le deuxième avait été enregistré dans les studios à Paris et Bruxelles, il avait donc quelque chose de très urbain, très électrique. Celui-là est beaucoup plus apaisé. Après, c'est aussi une question de moment. On était calmes et sereins au moment de l'enregistrer. Mais quand on les joue en live, les morceaux sont plus rock. Même si les morceaux sont calmes, on aime bien amener un peu de tempête.
Benjamin : Le premier et le deuxième album étaient déjà très différents. On aime bien le changement. Et puis ça correspond aux chansons.
Comme vous l'avez dit, cet album est plus léger, et on y retrouve des touches de piano, beaucoup de guitares acoustiques, des chansons down tempo. Est-ce que ça vous a posé de nouveaux problèmes en terme d'enregistrement ou d'arrangements ?
Thomas : On n'a pas vraiment eu de problèmes, les arrangements sont venus un peu d'eux mêmes. Le son est venu naturellement aussi. On a enregistré l'album avec Antoine Gaillet, qui a aussi produit le dernier Mademoiselle K et qui avait mixé La Folie Douce. On s'entend super bien avec lui, c'est un copain, la collaboration s'est passée très naturellement. Quand on enregistrait on avait un peu l'impression de faire de la cuisine à la maison entre potes.
Benjamin : Il fallait une grosse entente parce qu'on n'enregistrait pas dans un studio mais dans une maison. On vit dedans, on enregistre dedans, on dort entre trois guitares... On ne pouvait pas le faire avec n'importe qui. Et puis on était déjà convaincu parce qu'il avait fait sur La Folie Douce. Après il fallait d'autres choses, des qualités humaines, et il avait tout ça.
Thomas : Bon, par contre il ne se lave pas, c'est son seul défaut...
Benjamin : Mais nous non plus, donc ça allait ! (rires)
Benjamin : L'axe c'est l'attachement, et c'est quelque chose de difficile, j'ai l'impression qu'il y a de moins en moins de couples qui durent. Pour les jeunes générations l'investissement c'est quelque chose de compliqué, le rapport a changé, on est très loin de la génération de nos parents et grands-parents pour qui c'était une ligne directe. Il y a aussi une chanson dans le disque qui s'appelle "Le Royaume Des Cieux" qui fait écho à la difficulté de se situer dans le monde. Elle aussi est de plus en plus compliquée, et ça rend plus difficile la façon de se situer par rapport aux autres.
Elista a toujours eu une facilité pour trouver des mélodies et des refrains accrocheurs. Est-ce le point de départ des chansons ou pas forcément ?
Thomas : Non, c'est des trucs qu'on achète sur internet en fait (rires).
Benjamin : On aime bien les trucs efficaces, je pense que même si on ne le dit forcément, tout le monde aime ce qui est efficace. Après, c'est la définition de l'efficacité qui varie d'une personne à une autre. Nous on aime bien qu'il y ait une grosse cohésion entre les textes et la musique, on n'a pas envie qu'ils soient jugés indépendamment l'un de l'autre. C'est vrai qu'on recherche l'efficacité, on a envie que ça marche.
C'est efficace sans qu'il y ait non plus de grosses ficelles...
Benjamin : Non, il n'y a pas de réflexion en tant que single. L'idée c'est que quelle que soit le morceau, qu'il passe en radio ou pas, on aime que ce soit efficace. Je pense aux groupes que j'écoutais plus jeunes, Pixies, Cure, Dominique A, ou le premier Miossec, ils ne passaient pas forcément en radio, mais il y a une vraie efficacité dans leurs chansons. C'est quelque chose qui nous a marqué et qui nous plaît, c'est ce qui fait qu'on réécoute encore ces chansons.
L'Amour, La Guerre et L'Imbécile se rapproche pas mal de ce que faisaient Les Innocents. C'est une influence revendiquée ?
Benjamin : On nous l'a déjà dit. Non, ça ne nous surprend pas. L'image des Innocents était assez champêtre, très pop. J'aime bien les Innocents, Nataf a un sacré talent qui n'est plus à démontrer. Mais ce n'est pas spécialement ce qu'on écoutait, ce n'est pas volontaire. Mais ce n'est pas non plus déshonorant.
Actuellement, comment vous situeriez-vous sur la scène rock française ?
Benjamin : C'est très dur... Je sais de qui on est à peu près les héritiers, mais c'était il y a déjà longtemps. Au premier album, on était plutôt l'héritage de Miossec, Dominique A, etc... toute la scène "nouvelle chansons française". Quand les gens démarrent avec du rock, on les met dans la case Noir Désir. Après, je suis incapable de te dire où on se situe actuellement. Quand on a commencé, on ne savait pas qu'on faisait partie de la "scène rock". Plus on avance et plus on essaie de creuser un sillon qui nous ressemble. Mais les gens dont tu t'inspires ne sont pas forcément ceux dont on va te rapprocher, comme avec les Innocents par exemple. Sur La Folie Douce, je n'ai pas arrêté de bouffer Gainsbourg et du rap, personne ne nous a mis dans la famille "NTM et Serge Gainsbourg".
Thomas : Oui, c'est pour ça que j'allais dire qu'on est entre Stupeflip et Florent Pagny... (rires)
Benjamin : Donc en fait, on ne sait pas trop... Bashung aussi a vachement compté, mais est-ce que ce sont les gens qui comptent qui permettent de te situer ? Je ne sais pas... Et puis c'est de plus en plus difficile parce que les influences sont de plus en plus éclatées. Et puis surtout quand on parle d'influences en musique, ça ne concerne pas tant que ça la scène française. Pour La Folie Douce, on a écouté Kasabian en boucle, là c'était The Coral et Supergrass. On essaie de mélanger tout ce qu'on aime, et ça concerne beaucoup de groupes anglo-saxons. Il y a une petite injustice sur la scène française : à partir du moment où les paroles sont en français, on les rapproche automatiquement de groupes français style Noir Désir. On n'est pas trop concernés par ça parce qu'on n'est pas trop bloqués sur le rock, mais je trouve ça un peu dur. Je ne pense pas que tous les groupes de rock français écoutent Noir Désir en boucle et cherchent à s'en rapprocher.
Il y a aussi le problème de groupes à qui on impose le français pour pouvoir passer à la radio ?
Benjamin : Je crois que ce n'est plus valable. Le truc c'est retourné de manière hallucinante parce que les groupes français qui marchent le mieux chantent en anglais. Et plus ça va moins tu as de groupes français qui chantent en français. Donc la maison de disque qui va demander à un mec de chanter en français, ce n'est plus le cas, c'est fini. On a des exemples dans notre entourage, les mecs de Soma par exemple : la maison de disque se foutait royalement qu'ils chantent en français ou pas. Il y a 5 ou 10 ans ça se serait sûrement passé autrement, mais aujourd'hui le tabou est tombé. Il n'y a qu'à regarder Phoenix qui raffle tout chez les Américains, c'est hallucinant, tout est dit. Cocoon, The Do,... La scène française est maintenant très anglophone.
C'est vrai que l'influence anglo-saxone se ressent plus qu'au début des années 2000.
Benjamin : Oui, mais c'est le paradoxe dont je te parlais tout à l'heure : elle se ressent plus mais je ne pense pas qu'elle soit plus présente. Les mecs chantent plus en anglais aujourd'hui, mais ça ne veut pas dire que quand ils chantaient en français ils voulaient faire un truc franchouillard. Ils voulaient juste faire dans le francophone, mais avec des influences anglaises. C'est un mystère. Il y a un mystère musicalement autour de la langue française.
On dit souvent que c'est plus difficile de chanter du rock en français.
Benjamin : Je ne sais pas. Chacun fait naturellement, avec ce qui vient. Après on a déjà entendu des conneries, des groupes qui disaient "le français ce n'est pas la langue du rock", là ça devient complètement dingue de dire un truc aussi con.
Lire l'interview complète sur Froggy's Delight.
mercredi 2 mars 2011
Oh La La ! "Oh La La !"
